environnement

 

presentation overview salernes 2000

  set01_home_on.gif       france_01.gif                    r-u_01.gif

 

 

 

 

 

 

z3d_letter01_gray_a.gifz3d_letter01_gray_b.gifz3d_letter01_gray_d.gif

Après l'ère de la motorisation à combustion et de l'électrisation de plus en plus poussée qui se poursuit, nous passons à l'automatisation tous azimuts et à la cybernétique cosmique (avec l'intensification, non seulement des téléphones cellulaires et des réseaux informatiques à l'avènement de la «télématique mobile», mais aussi des émetteurs de TV, de radios., entre autres systèmes de communication, sans précaution biologique à l'égard des personnes exposées).

Parallèlement, l'environnement contemporain en subit de plus en plus les conséquences, non seulement par une modification de la composition chimique des éléments vitaux de la Planète (air, eau, matières minérales et organiques...), voire par une raréfaction de certains d'entre eux, mais aussi par un changement du milieu physique, notamment sur le plan vibratoire «radiatif», en fonction en particulier des fréquences et caractéristiques des diverses ondes,  perçues ou non par les organes des sens et plus ou moins bien tolérées biologiquement selon les individus.

earth4.gif

La réalisation d'une sorte de niche écologique humaine, dans cet environnement, nécessite la construction d'un habitat, avec une enveloppe protectrice sélective, de forme adaptée et implantée en un lieu bien situé. Il convient, en particulier, de mettre en oeuvre une architecture bioclimatique plus efficiente sur le plan énergétique, entre autres, et le plus à l'écart possible des diverses sources de pollution, tout en cherchant à réduire au minimum la production de déchets domestiques. Cette enveloppe doit aussi être réalisée avec des matériaux spécialement choisis, les plus appropriés à une construction biologique saine ou Bio-construction.

 

Pollution  chimique  contemporaine

rightpoll.art

Qualité de l'air : principaux polluants chimiques contemporains

La pollution chimique atmosphérique contemporaine se caractérise par la présence en quantités anormales dans l'air de dioxyde de soufre (SO2), d'oxydes d'azote (NOx), de particules en suspension (PES) ou fumée noire (FN), de composés organiques volatils (COV), de gaz carbonique ou dioxyde de carbone (CO2), de monoxyde de carbone (CO), d'ozone (O3), voire de chlorofluorocarbones (CFC), de plomb (Pb) et autres éléments selon les régions...

L'évolution -au cours de cette dernière quinzaine d'années-  montre, par exemple,  que les concentrations en SO2 (en provenance essentiellement des systèmes de production de chaleur, aussi bien pour la satisfaction des besoins domestiques directs, que pour les centrales thermiques et plus encore pour l'industrie) ont été divisées par deux dans la plupart des villes occidentales. Durant cette même période, les taux de NOx sont restés sensiblement stables, voire ont évolué en hausse du fait de l'augmentation du trafic automobile (producteur principal d'oxydes d'azote pour 60% à 75%)

.buscute.gif

La prise en considération de l'ozone O3 de la première couche atmosphérique (ou «mauvais ozone», en tant que polluant photochimique nocif) peut donner un reflet de l'évolution de la qualité de l'air ambiant, puisque cet ozone troposphérique résulte de l'interaction des U.V. et de l'émission d'autres polluants précurseurs (oxydes d'azote NOx et monoxyde de carbone CO, provenant essentiellement pour 60-70% des véhicules d'une part, ainsi que, d'autre part, des poussières en suspension PES ou fumée noire FN et de certains composés organiques volatils COV, provenant -eux- aussi bien des transports que de l'industrie).

Peut-être, y a-t-il lieu de préciser ici que, par ailleurs, la couche d'ozone stratosphérique forme une zone filtrante à environ 30 km du sol, vis-à-vis des radiations U.V.-B (d'où la qualification alors de «bon ozone»). Depuis les années 80, il semble que l'épaisseur de cette couche diminue au pôle Sud à chaque printemps, en particulier du fait de la présence anormale de dérivés halogénés (comme les CFC : chlorofuorocarbones et autres composés moins halogénés), qui libèrent du chlore, élément responsable de la destruction d'une partie de cet ozone stratosphérique. Les oxydes d'azote et certains COV (méthane) interviendraient également dans cette destruction.

Dans le même esprit, il convient de signaler que l'atmosphère est perméable au rayonnement solaire, indispensable à la vie, et que le sol ainsi chauffé émet un rayonnement infrarouge piégé par les gaz à «effet de serre» (CFC, CO2, COV : méthane, N2O : oxyde nitreux, ozone, vapeur d'eau) ; ce phénomène réchaufferait la Planète. Depuis un siècle, la température de l'atmosphère s'est élevée de 0,5 ° C ; mais, il n'est pas possible de rattacher avec certitude cette hausse thermique à l'activité humaine ou aux variations climatiques naturelles, même si bien des Scientifiques sont à présent en faveur de la première thèse.

Selon  certaines  études   prospectives,   cette   élévation de température de l'atmosphère serait de 1 à 4 °C  au seuil du XXIIème Siècle ; c'est dire qu'au cours du siècle prochain, les incidences sur l'isolation thermique des bâtiments, entre autres, seront bien moindres que les conséquences prévisibles, en particulier, sur la flore ou la faune suivant les régions, dans cet habitat «naturel» ainsi modifié.

Pour revenir au «mauvais ozone» troposphérique, considéré -en première approximation- comme indicateur de la pollution chimique contemporaine, il se forme dans les masses d'air pollué, puis il est transporté à distance, de telle sorte que les retombées préjudiciables peuvent être plus fréquentes en dehors des villes, sous le panache des pollutions urbaines, industrielles ou des grands axes routiers. Des conditions climatiques particulières (fort ensoleillement, stagnation de l'air : vent nul) aggravent souvent ce phénomène. Signalons, toutefois pour être complet à cet égard, qu'une partie de l'ozone formé en ville est immédiatement  détruite  par  certains oxydes  d'azote.

Les concentrations en ozone troposphérique étaient au début du siècle d'environ 20 µg/m3 ; elles peuvent atteindre aujourd'hui, assez couramment, 60, 80, voire 100 µg/m3 en moyenne et plus. Pour le Conseil Supérieur d'Hygiène Publique en France (Avis du 27 avril 1995), le seuil de protection pour la santé se situe à 110 µg/m3 (moyenne sur 8 heures). À partir de 180 µg/m3, une information préventive des populations doit être diffusée.

 En effet, de telles concentrations peuvent entraîner des céphalées, des irritations locales, oculaires, broncho-respiratoires, avec diminution de la fonction ventilatoire, surtout chez les personnes allergiques plus sensibles, avec notamment entretien et aggravation de leur maladie chez les asthmatiques. En période de pollution photochimique, les activités physiques doivent être planifiées, voire suspendues pour les individus hypersensibles, dans les zones où les dépassements du seuil d'information sont fréquents (supérieur à 180µg/m3).

En cas de pics de pollution, l'habitat devient même un véritable refuge sanitaire, en particulier pour les enfants et les sujets fragiles, puisqu'il leur est conseillé d'éviter de sortir pendant les heures les plus chaudes et ensoleillées de la journée

 ________________________________________________________________________

Sources, pour l'essentiel : Paracelse, sous la direction des Docteurs Vincent Danel (Unité de Toxicologie clinique) et Daniel Pagonis (Service d'Information & Informatique médicale),  CHU,  BP 217,  F-38043  GRENOBLE  Cedex  9.

 

Pour se protéger ainsi d'une manière générale du «brouillard enfumé» ou «smog» et autres polluants chimiques atmosphériques, faudra-t-il envisager demain de vivre dans une bulle bio-robotisée de survie spécialement filtrée voire même en atmosphère artificielle, pressurisée, à l'instar d'une capsule spatiale ?

 sherialien3.gif

 Il est même à se demander si une «sonde collective» de zone -en vue de relever les divers paramètres de la pollution atmosphérique, entre autres- ne va pas devenir une nécessité pour bien des facteurs vitaux d'appréciations de la qualité de vie dans certains lotissements. Ici encore, la domotique -associée à une urbatique adaptée- pourra apporter son concours précieux dans la gestion et dans le déclenchement de certains systèmes de filtration de l'air, en cas de besoin

 

 

Pollution physique «radiative» contemporaine

 

- Des radiofréquences «communicatives»

                aux basses fréquences «informatiques» et «électriques»

 

tvtower.gif

Les sources de rayonnements électromagnétiques se sont considérablement multipliées au cours de ce siècle, aussi bien en variétés, qu'en intensités, à tel point que certains parlent à présent d'un véritable «électro-smog» ou brouillard électro-magnétique artificiel autour de la Planète, jusqu'aux altitudes très élevées du fait de la mise sur orbite d'un nombre sans cesse croissant de nouveaux satellites de télécommunications.

sf.gifmartian.gif

Nous baignons -pratiquement partout- dans les radiations des émetteurs radar et autres, dans celles des émetteurs de télévisions U.H.F. (hyperfréquences de 0,3 à 3 gégahertz) et des téléphones cellulaires (GSM : Global System for Mobile communication à 925 et 1800 mégahertz), des téléphones mobiles (avec leurs antennes à 300 mégahertz) et puis, dans celles des émetteurs TV. en V.H.F. (de 30 à 300 mégahertz), des ondes radio en FM, AM, jusqu'aux récepteurs (écrans cathodiques, pour les très basses fréquences : V.L.F.), ainsi que dans les champs électriques, électromagnétiques (pour les extrêmement basses fréquences : E.L.F.) des appareils électroménagers ou autres, des réseaux électriques de distribution et d'alimentation jusqu'aux lignes à haute tension, sans oublier les lignes de transports à traction électrique.

animbizbar.gif

Devant toutes ces formes d'énergie invisible, de nombreux scientifiques avisés mettent aujourd'hui les populations en garde vis-à-vis des risques sanitaires susceptibles d'être entraînés par cette exposition en divers points de la Planète, en recommandant «l'évitement» ou éloignement prudent, le plus souvent possible. Au «Smog» chimique en certaines régions se surajoute ainsi un réel «brouillard électromagnétique artificiel» omniprésent et invisible, mais qui n'est pas inactif sur les organismes vivants selon leur sensibilité propre.

 -  Radiofréquences : micro-ondes ou hyperfréquences telephon1.gif

                                                                           et téléphones mobiles

 

 La fréquence de l'onde porteuse des téléphones mobiles est de l'ordre de 900 ou de 1800 mégahertz, selon les types de réseaux. L'appareil émet en permanence afin d'être détecté, s'il n'est pas déconnecté. Cette détection et la transmission des communications s'établissent par l'intermédiaire de relais, couvrant une zone spatiale de diffusion ou cellule (d'où le nom de réseau cellulaire), d'un rayon de 5 à 20 km autour de chaque relais en rase campagne, pour descendre aujourd'hui à un rayon minimum d'environ 1,5 km en ville. L'émission est, toutefois, d'autant plus importante que le réseau est plus sollicité et elle atteint toutes les personnes se trouvant dans son champ de diffusion, même celles qui ne disposent pas de téléphone mobile. Bien sûr les utilisateurs sont plus exposés, notamment au niveau des organes proches de l'appareil lors des communications téléphoniques.

Il faut tenir compte en particulier de la densité de puissance. Elle s'exprime le plus souvent en microwatt/cm2 (µW/cm2). Durant une communication téléphonique, l'utilisateur reçoit en moyenne une densité de puissance de 1000 à 2000 µW/cm2 ; or, d'après le Pr W. Ross Adey (Président du Conseil National de Protection contre les Radiations : NCPR aux USA), des densités de puissance de moins de 10 µW/cm2 peuvent avoir un effet perturbateur sur des cultures cellulaires et sur des animaux de laboratoire. Le Pr Neil Cherry (Université Lincoln, Christchurch, Nouvelle Zélande) affirme même que le seuil devrait se situer en dessous de 0,1 µW/cm2 !

Certaines firmes reconnaissent les dangers potentiels des téléphones cellulaires, puisque l'une entre elles utilise des slogans en rapport pour mieux se positionner commercialement. Des mesures effectuées avec un GSM Hagenuk en émission montreraient, par exemple, une densité de puissance plus de dix fois inférieure à celle émise par les GSM concurrents. Mais, il reste encore beaucoup à faire pour parler de sécurité absolue, puisqu'on relève -avec ce type de téléphone- toujours 200 µW/cm2 au niveau du cerveau au cours d'une communication.

 

 - Très basses fréquences (V.L.F.)   monitor.gif                                 

     et écrans cathodiques d'ordinateurs ou de postes de télévision    

 En attendant une plus large diffusion d'autres types d'écran de réception, il faut bien reconnaître qu'un tube cathodique est une ampoule de verre sous vide, avec trois canons à électrons (pour la couleur) et un écran fluorescent (phosphore) à sa surface interne, où se forme l'image par balayages des électrons. Un transformateur (haute tension) accélère et dirige les trois faisceaux de particules vers l'avant du tube. Leurs mouvements sont dirigés par des bobines de déviation, au sein desquelles circule un courant électrique qui engendre des champs magnétiques.

Les champs ainsi produits sont plus importants à l'arrière et latéralement que face à l'écran (1 milliGauss à 1,5 - 2 m de distance, en façade) ; d'autre part, diverses fréquences sont ainsi émises (Fréquences de balayage horizontal : de 10 à 30 kilo Hz = très basses fréquences ou V.L.F. - fréquences de balayage vertical : de  50 à 75 Hz = extrêmement basses fréquences ou E.L.F.), sans oublier  celles du courant alternatif 50 Hertz d'alimentation du transformateur qui engendre ses propres champs, pour ne parler que des radiations non-ionisantes. La pratique de l'éloignement prudent amène à faire regarder la télévision à une certaine distance (notamment pour les enfants, qui ont la mauvaise habitude de «coller leur nez» sur le poste de TV). Quant à l'utilisation d'ordinateur, cette pratique est plus difficile pour la lisibilité même sur l'écran. Des filtres surajoutés peuvent éventuellement changer certaines des conditions visuelles, limiter l'électricité statique et les champs électriques, mais -en aucun cas- intervenir sur les divers champs magnétiques précédemment décrits.

Par contre, des systèmes spécifiques pourraient agir sur ces radiations émises au voisinage des écrans cathodiques (reposant sur les «neutrinos» porteurs de photons pour «Neutral», ou bien, de solution d'oxydes de terres rares entraînant une résonance à contre phase qui annihilerait la nocivité biologique de telles émissions, comme «EMF-BIOSHIELD® from A.NOX® Technology»). Mis à part l'utilisation de «modèles biologiques», les moyens classiques d'investigation scientifique ne permettent pas encore toutes les vérifications objectives d'une telle action protectrice et il faut se méfier des nombreux gadgets commercialisés par ailleurs, sans aucun effet neutralisant vis-à-vis des champs électromagnétiques ainsi produits.

 

ampoule7.gif

 

 - Extrêmement basses fréquences (E.L.F.) et courants électriques

 Tout courant électrique engendre un champ électrique et un champ magnétique. Son intensité est d'autant plus grande que l'on se trouve à proximité de la source ; ce champ diminue rapidement avec la distance, d'où l'intérêt du concept d'éloignement prudent ("prudent avoidance" développé aux USA). La Suède est le premier pays à avoir adopté ce principe de précaution par l'éloignement prudent pour la protection des populations.

Un champ électrique est engendré par la présence de charges électriques (électrons) ; ce champ est lié à la tension du courant électrique ; il est donc fonction du voltage (lignes de transport en 400.000 volts, ou de distribution domestique en 220 volts, par exemple). Le champ électrique se mesure en volts par mètre (V/m). Plus la tension d'alimentation d'un appareil est élevée, plus le champ électrique qui en résulte est intense. Les fils d'un appareil branché à une prise de courant produisent un champ électrique, même si l'appareil ne fonctionne pas, d'où l'intérêt des interrupteurs de champ. Son intensité peut être considérablement diminuée par des éléments susceptibles de faire écran (arbres, bâtiments...).

Un champ magnétique est induit par le passage du courant électrique, c'est-à-dire par le mouvement des électrons. Il n'est donc produit que si un appareil est en marche. Plus l'intensité du courant (exprimée en ampères ) est forte, plus le champ magnétique produit sera important. Contrairement au champ électrique, pratiquement aucun écran efficace (mis à part le mû-métal) ne peut agir comme blindage contre le champ magnétique, de telle sorte que ce dernier traverse assez facilement la matière, les diverses structures de l'habitat, aussi bien que le corps humain... Son intensité s'exprime en Teslas (anciennement en Gauss, cette unité est encore utilisée : 1 Tesla = 10.000 Gauss), ou plus souvent en fractions de ces unités : 1 milliGauss (mG) = 0,1 micro Tesla (µT). On emploie aussi parfois l'ampère par mètre (A/m).

Tous les appareils, équipements et fils électriques produisent des champs électriques et magnétiques (CÉM). Par conséquent dans notre environnement, nous sommes tous exposés aux CÉM.  Le type d'équipement, la distance par rapport à la source et le temps passé à proximité sont trois facteurs indispensables à prendre en compte dans l'évaluation de l'exposition aux CÉM. Il est important également  de  tenir  compte  des  effets  cumulés des  divers champs, ainsi que, par exemple, de l'action possible des descendants radioactifs du radon formés sous l'influence du champ électrique, le long des lignes de transport du courant, comme le signale le Pr Denis Henshaw de l'Université de Bristol en Grande Bretagne.

Le Conseil National de Protection contre les Radiations et de mesures (NCRP : National Council on Radiations Protection and measurements), dépendant de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA : Environmental Protection Agency) aux USA, a défini le concept ALARA (As  Low  As  Reasonably  Achievable  =  aussi bas qu'il est raisonnablement possible de réaliser) sur le plan sanitaire, en vue de parvenir à protéger les populations de tous risques à l'avenir, par la suggestion réaliste d'une réduction progressive de leur exposition aux CÉM environnementaux. Dans un rapport préliminaire (NCRP, 1995), les consignes directrices de sécurité recommandent -à terme- un seuil d'exposition fixé à 0,2 µT (micro Tesla) ou 2 mG (milliGauss) pour les champs magnétiques ambiants. Cette valeur limite, pour les risques pathogènes, est confirmée par les études récentes indépendantes de la Communauté Scientifique Internationale (et 5 Volts/m, ou 10 Volts/m selon les auteurs, pour les champs électriques).

skeleton2.gif beefour.gif

 mieux vaut prévenir que guérir

Il me paraît personnellement important d'étendre ce principe minimal «ALARA» à la qualité de vie et surtout de sommeil dans l'habitat. C'est la raison pour laquelle j'ai défini -pour ces divers champs électromagnétiques- une «zone de neutralité biologique» effective plus confortable (au sein des chambres à coucher notamment). En raison de certaines personnes hypersensibles en particulier, je préconise à présent à cet effet de limiter l'exposition à moins de 0,1 mGauss pour les champs magnétiques (en s'appuyant comme référence sur la valeur minimum des relevés du champ magnétique ambiant effectués dans des habitations québécoises par l'Institut de Recherche d'Hydro-Québec, avec une variation de 0,01 µT à 1 µT alors, soit de 0,1 mG à 10 mG).

Par ailleurs, je suggère de descendre à moins de 1 Volt/m pour les champs électriques avec le courant habituel 50 Hz (Europe) / 60 Hz (Amérique du Nord), ainsi qu'à une densité de puissance inférieure à 0,1 µwatt/cm2 pour les hyper-fréquences des téléphones mobiles GSM à 925 mégahertz (d'après les travaux néo-zélandais du Pr Neil Cherry dans ce cas).

 

Liens

Sites intéressants  

Sites sur la pollution atmosphérique

http://www.fr.tentelemed.com/Paracelse/envirtox/Pollatmo/Surveill/atmo.htm

http://www.environnement.gouv.fr/actua/cominfos/dosdir/DIRPPR/air/default.htm

http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/biologie/ress/environnement/sites.html

 http://www.erpurs.org/HomePage.htm

http://www.ile-de-france.sante.gouv.fr/santenv/informat.htm

 

Site relai sur la pollution électromagnétique

http://club.euronet.be/claude.herion

 

Autre site en relation directe avec ABD

http://biodeveloppement.multimania.com/

 


[presentation] [overview] [salernes 2000]
[environnement] [penta G 2000] [communique presse] [publications] [contacts]

 Copyright (c) 2000-2001 ABD. Tous droits réservés.
abdeveloppement@free.fr