penta  G  2000

 

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penta  G  2000
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pyramid.gif Présentation par l'auteur : le Dr Pierre PLAT

 

Un nouveau type d'habitat en forme d'hémi-pyramide, tronquée spécialement dans l'axe le mieux protégé de la rose des vents locaux, offre une large façade principale Sud-Est (ou plein Sud, suivant les régions) avec une vue panoramique exceptionnelle en aval. Cet édifice, prismo-pyramidal à base pentagonale, est orienté de telle manière que l'exposition plein Nord soit ramenée à une seule arête et permet ainsi à ses cinq façades de recevoir un ensoleillement direct à un moment donné de la journée. Cette morphologie architecturale spécifique laisse pénétrer toute l'énergie vitale du Levant en particulier et se différencie notamment de la symétrie des Pyramides quadrangulaires égyptiennes, aussi fermées que momifiantes.

 

Cette «hutte des temps modernes» est bien intégrée dans la Nature et protégée à la fois des intempéries ; elle correspond au Projet expérimental «PENTA G 2000», présenté pour illustrer concrètement les principes généraux développés en matière d'Architecture bioclimatique et de Bio-construction.

 

Cette approche globale, élaborée scientifiquement, est peut-être l'occasion de rejoindre certaines considérations du «monde subtil» du Feng Shui chinois et d'établir une relation entre des pratiques de l'Orient et de l'Occident.

 

Par ailleurs, les problèmes environnementaux de fond, entre autres, quant à la pollution -non seulement chimique, mais aussi «radiative» physique- se posent avec acuité à l'échelle de la Planète, pour protéger tous les Terriens à l'avenir dans un abri salutaire adapté.

 

 

 

 

Un Habitat pilote : Domo-Géo-Bio-Climatique

pour mieux répondre aux besoins biologiques de l'Homme

 

L'homme est un homéotherme, c'est-à-dire un animal à sang chaud, à température corporelle interne relativement élevée (37° C) et stable grâce à un véritable thermostat hypothalamique. Cette caractéristique -indépendamment d'autres "faiblesses physiques"- justifie en grande partie dans l'échelle des espèces son besoin de protection au sein d'un refuge favorable à ses fonctions métaboliques vitales, afin qu'elles puissent s'accomplir le plus longtemps possible, avec le meilleur rendement souhaitable.

 

Ces conditions optimales de vie et de longévité dépendent en particulier de la détermination d'un site bien adapté, de la conception d'ensemble et des matériaux de construction les plus appropriés à cet effet. Il est important de retenir un lieu d'implantation propice, entre autres, au meilleur bilan thermique, à l'abri des aléas climatiques et cosmo-telluriques éventuels, mais aussi de le choisir le plus à l'écart des sources de pollution de toutes sortes.

 

Pour répondre à tous ces objectifs, j'ai conçu un nouveau type d'habitat domo-géo-bio-climatique. Par cette multi-qualification, il faut bien retenir que chaque racine de mot à sa raison d'être : domo pour la domotique, géo pour la géobiologie et bio - climatique en deux mots séparés par un tiret, afin de pendre en considération à la fois l'architecture bioclimatique et l'aspect biologique proprement dit de la construction, notamment quant à la mise en ouvre d'une véritable bio-construction.

 

 L'analyse objective de la relation physique d'un bâtiment avec son environnement extérieur est essentielle, en effet, en architecture bioclimatique. Une démarche globale préalable doit tenir compte des forces et éléments dominants de la Nature pour s'en servir en la respectant dans son ensemble, au lieu de tenter de s'y opposer, plus ou moins maladroitement pour construire à tout prix, rapidement, n'importe où... Dans cette sorte de confrontation ainsi créée par tout édifice implanté, ce sont toujours les forces de la Nature qui triomphent, sans parler des risques de catastrophes dites "naturelles", dont les conséquences nous dépassent souvent. Indépendamment de sa forme architecturale, le bâtiment doit être limité par une enveloppe, aussi sélective que protectrice, déterminante dans la relation interfaciale «milieu-habitat» pour mieux concourir au bien-être biologique de l'homme, en synergie et en symbiose avec la Nature.

 

 

L'architecture bioclimatique est d'autant plus efficace que la forme adaptée de la construction s'efforcera, aussi bien de donner le moins de prises possibles aux éléments négatifs de la Nature, que d'exploiter au mieux ses bons côtés.

 

L'ensemble des paramètres caractéristiques du site (altitude, nature et pente du sol, tellurisme, ensoleillement, pluies, température, humidité et qualité de l'air, vents...) amène souvent à réaliser le meilleur compromis entre eux. Par exemple, dans les régions montagneuses comme l'Auvergne, l'humidité (avec risques plus fréquents de brouillard) est généralement plus élevée dans les vallées et diminue à partir d'une certaine altitude, où l'ensoleillement est plus fréquent, avec de meilleures conditions climatiques alors sur les versants bien exposés et abrités des vents.

 

À partir d'une certaine altitude, non seulement l'humidité -je dirais volontiers la nébulosité en englobant la pollution aérienne- est moindre, mais la température de l'air décroît aussi rapidement, surtout la nuit (avec des écarts thermiques -le même jour- de quelque 20° C entre température diurne et température nocturne). Ces situations extrêmes peuvent entraîner des dépenses énergétiques accrues, si toutes les précautions utiles n'ont pas été prises à temps, avec une inertie suffisante, entre autres critères déterminants.

 

J'attache, pour ma part, une grande importance à la connaissance précise des vents dominants. Il faut choisir un terrain bien aéré, mais pas trop venté, pour bénéficier d'un air sain en moyenne altitude, de préférence dans la verdure la moins allergisante possible (en amont des villes par rapport aux vents dominants, tout en tenant compte d'autres sources de pollutions aériennes, olfactives, sonores..., comme au voisinage des zones industrielles, décharges publiques, et/ou des voies à grande circulation).

 

Le projet expérimental «PENTA G 2000» se caractérise, d'une part, par sa situation, son intégration dans le site et, d'autre part, par sa morphologie spécifique, ainsi que par le choix de ses matériaux constitutifs (pour la plupart industrialisés afin d'en diminuer d'autant les coûts de production et de mise en ouvre plus rapide et plus propre à la fois).

 

Ces matériaux doivent être les plus compatibles possibles avec les besoins vitaux de tout organisme humain, pour parler d'une réelle «bio-compatibilité» en construction. Mais, toute autre morphologie architecturale -selon l'imagination et la créativité de chacun- peut aussi bien apporter une réponse concrète à l'ensemble de ces considérations biotiques.

 

Une conception industrielle et architecturale rénovée doit permettre de bénéficier sainement des bienfaits des nouvelles technologies précieuses au seuil du IIIème millénaire, sans risques pour chacun d'entre nous. C'est ainsi qu'il convient de mieux maîtriser les apports irremplaçables de l'utilisation de l'électricité, de l'électronique, de l'informatique ou de la domotique...

 

Une double action protectrice préventive synergique est aussi salutaire, qu'indispensable à l'avenir, non seulement à la source, mais aussi à la réception chez des sujets -le plus souvent irradiés ou exposés à leur insu- selon les lieux et les radiations en cause dans le milieu, étant donné le «bain radiatif» dans lequel nous vivons de plus en plus en permanence.

 

Suivant les cas et les possibilités offertes, cette correction conjuguée passe par une neutralisation maximale à l'émission, par le filtrage, voire l'arrêt au niveau de l'enveloppe du bâtiment, jusqu'à un blindage approprié au sein ou à proximité des installations, aménagements et appareils générateurs de telles nuisances, sans risques d'incompatibilités fonctionnelles majeures entre eux, toutefois.

 

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Barres inoxydables crantées utilisées  dans le bâtiment pour leurs propriétés amagnétiques : aciers austénitiques au Chrome-Nickel (UGINE 4301 = 304), ou éventuellement avec une adjonction de Molybdène, notamment pour une meilleure protection vis-à-vis de la corrosion (UGINE  4401 = 316).

Ces mesures doivent s'appliquer, par exemple, au domaine des installations électriques (tracé des lignes extérieures et intérieures, pose d'interrupteur de champs si besoin, câbles torsadés, blindés....) au sein des chambres à coucher en particulier, tout en formulant d'autres propositions de réalisations concrètes (telles les armatures en acier inox austénitique : cf. illustration ci-contre) dans les structures pour une meilleure protection amagnétique effective, entre autres détails de la construction biologique...

Je m'intéresse aussi aux géotextiles et autres trames ou armatures de l'enveloppe du bâtiment, avec des matériaux spéciaux susceptibles d'être utilisés à ce niveau pour constituer un véritable «bouclier anti radiatif», en vue de protéger à l'avenir les habitants à ces divers égards.

 

 Les champs électriques et magnétiques dans l'habitat ne peuvent se dissocier des autres radiations non-ionisantes, entre autres (des infrasons aux micro-ondes, en passant par les fréquences de l'électromagnétisme proprement dit). Il convient donc de prendre en considération l'ensemble des phénomèmes vibratoires, y compris ultrasoniques, soniques et surtout infrasoniques, dangereux à la fréquence de 7 - 8 Hertz notamment, parce qu'ils peuvent entrer en résonance avec certains milieux biologiques de l'organisme.

 

Ce peut être le cas des émissions des transformateurs électriques de proximité (différentes des nuisances électromagnétiques proprement dites) ou bien de celles des systèmes d'aération, de climatisation, de ventilation dans l'habitat (à l'intérieur ou dans le voisinage : sur le toit d'immeuble adjacent, par exemple), avec leurs gaines propagatrices.

 

Il s'y ajoute les nuisances multisoniques occasionnées par les transports souterrains à proximité des constructions (notamment Poids Lourds sous les tunnels, métro), à la diversité des intenses ondes acoustiques du trafic aérien, ferroviaire et routier à ciel ouvert...

 

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Il s'agit là d'autant de sources de pollutions vibratoires, perçues ou non par les organes des sens, susceptibles d'affecter le fonctionnement des cellules cérébrales, ou d'autres systèmes organiques, comme la circulation sanguine, avec le risque d'une rupture d'anévrisme artériel, faussement qualifiée alors de «spontanée»

 

En France, les nouvelles normes amènent à monter des «cloisons acoustiques» sur des bandes résilientes, afin de les désolidariser sur les quatre côtés, par l'interposition, entre autres, de dérivés caoutchoutés comme le «Talmisol» ou de produits mous à base de cellulose imputrescible par l'adjonction de bitume, tel «Phaltex». Dans le même esprit, la recherche d'une meilleure isolation des parquets conduit de nombreux fabricants à concevoir des systèmes en vue d'assouplir, voire d'éliminer leurs liaisons rigides avec leurs supports, afin de mieux répondre à la récente réglementation (*) acoustique française

 

(*) Le niveau maximum de bruit perçu par transmission verticale dans l'habitat, qui était de 70 dB(A) avec la réglementation de 1969 est passé à 65 dB(A) au 1er janvier 1996. Depuis le 1er janvier 1999,  ce niveau maximum se situe à 61 dB(A). Les revêtements de sols doivent donc être conçus conformément à cette réglementation de 1999. De son côté, Qualitel demande 61 dB(A) pour le label Qualitel et 58 dB(A) pour le label confort acoustique Qualitel.

 

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Pour ma part, je conseille de pratiquer partout des ruptures de «pont phonique», pour toutes les vibrations ultrasoniques, soniques et si possible infrasoniques (comme on réalise bien, par ailleurs, des ruptures de «pont thermique» pour limiter les échanges caloriques, par exemple).

 

Je recommande même un système anti-vibratoire global, en vue de réaliser une sorte de maison «flottante» dans son intégralité dès la conception architecturale, indépendamment des prescriptions antisismiques spécifiques obligatoires selon les régions plus particulièrement exposées à ce risque.

                                                                  

L'architecture bioclimatique et la morphologie architecturale adaptée du projet «PENTA G 2000» m'ont été inspirées par la vie naturelle pastorale locale en Auvergne. En effet, dans le Massif Central, les bergers font paître leurs troupeaux sur des versants Sud-Est, bien exposés et abrités des vents d'Ouest, qui amènent la pluie en particulier. Par mauvais temps, ils savent se mettre à l'abri sous leur large cape, le dos au vent. Ces observations m'ont conduit à concevoir une maison presque tout en toiture très enveloppante, comme la cape du berger

 

 

 PENTA G 2000 : une "cape-habitat" et bien plus encore

 

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La coupe de cette «cape-habitat» met en valeur la grande façade principale au Sud-Est (à gauche, ici) et l'exploitation du maximum de volume protégé sous la toiture très enveloppante : des combles aménageables aux sous-sols, avec de la lumière directe partout, de la cave (par un système de pseudo-cour anglaise : cf. à droite, à l'arrière, sous le garage, inclus en appentis -côté Nord-Ouest- pour améliorer la protection ) au grenier, par des fenêtres de toit, pour éclairer l'atelier informatique à ce niveau, entre autres. L'isolation est la plus à l'extérieur possible afin que l'épaisseur du manteau, c'est-à-dire de l'enveloppe du bâtiment travaille, par son inertie notamment, au profit du confort intérieur.

 

De l'Architecture bioclimatique et biologique

 au Feng Shui 

 

 

Tout concourt, dans ce projet expérimental, à mieux protéger ce nouveau type d'habitat «PENTA G 2000» des vents dominants par un croissant de terre avec des arbres au Nord-Ouest et comportant également un bosquet au Nord.  D'autre part, le drainage hydrique sur un terrain en pente, bien orienté vers le Sud-Est contribue à éliminer les eaux par un écoulement lent dans cette direction... La présence d'une piscine au Sud, avec aménagement en son sein d'un jet d'eau (à partir de la pompe du local technique adjacent) ne vise qu'à éviter toute eau stagnante et à produire des ions négatifs salutaires dans l'environnement immédiat de la construction...

 

Il y a là, me semble-t-il dans cette approche biologique globale, une préparation à un art de vivre, proche du Feng Shui chinois (le «Vent» et «l'Eau»), visant à mettre en phase les futurs occupants de toute maison avec la Planète Terre et ses Éléments, afin de mieux canaliser les flux d'Énergie de l'Environnement naturel lors du choix d'un site et de la réalisation d'une construction.

 

L'examen du plan de masse fait découvrir, par les courbes de niveaux, le véritable modelage du terrain qui encadre l'implantation du bâtiment principal à base pentagonale tronquée spécifiquement. La partie dissymétrique (en haut et à droite du tracé du corps du bâtiment d'ensemble) correspond aux espaces tampons en appentis (hall d'entrée et garage) du côté le plus exposé aux vents et à la pluie.

 

Le souci simultané d'intégration et de protection vis-à-vis de la Nature, avec laquelle il faut réaliser le meilleur compromis, a conduit à concevoir une construction pseudo-troglodytique, comme le montrent également ces mêmes courbes de niveau, indépendamment de la morphologie prismo-pentagonale compacte et aérodynamique de l'ensemble bâti.

 

 Les  voies  d'accès -figurant sur ce plan de situation- sont curvilignes et évitent toutes «flèches cachées ou secrètes», y compris de l'extérieur de la parcelle ; cette dernière a été choisie au sein d'un plus vaste ensemble au relief mamelonné, caractéristique du Massif Central, pour offrir un véritable «antre du dragon» en Occident, suivant les formes particulières des montagnes locales en Auvergne. Par ailleurs, la localisation des flux énergétiques telluriques ne correspond-elle pas, plus ou moins, aux «veines du dragon» dans la recherche de leurs interactions éventuelles avec les êtres humains ?

 

 

 Plan de masse du Projet «PENTA G 2000»

 

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Par contre, comme il s'agit d'une innovation architecturale -donc par principe, inédite- il est bien évident que nous ne retrouvons pas, dans la morphologie spécifique de ce projet «PENTA G 2000», le plan très "carré" caractéristique de l'implantation d'une maison traditionnelle chinoise selon les principes du Feng Shui (pour le peu que j'en connais).

 

Il serait intéressant de pouvoir avoir l'avis d'un Maître oriental contemporain de ces pratiques à propos de cette nouvelle morphologie architecturale pentagonale (sous négliger toute la symbolique du chiffre 5 !), avec une toiture très enveloppante et protectrice côté yin, tout en présentant une large façade principale au Sud-Est propice à la pénétration des bonnes énergies, côté yang.

 

Ce projet vise à faire accumuler chaque jour le maximum de qi  ou ch'i au profit des futurs habitants. Il correspond à «la hutte des temps modernes» susceptible de réaliser, peut-être, la meilleure synthèse entre les principes de construction de l'Orient et de l'Occident, pour mieux mettre en phase l'Homme dans son Habitat avec les Éléments de la Nature, en reprenant ainsi des pratiques millénaires d'autres Civilisations pour en bénéficier dans toutes les applications du Progrès contemporain.

 

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